Pour tout curieux qui s’intéresse à l’histoire de son village, la lecture de textes inédits, c’est-à-dire non publiés, peut se révéler d’un grand intérêt. Ces textes sont quelquefois cités par bribes par les historiens ou sont connus par ouï-dire ou même sont complètement ignorés parce qu’inconnus. Nous nous proposons aujourd’hui d’en publier trois, nous réservant, par la suite, d’en présenter d’autres dont les publications trop anciennes sont devenues introuvables (Noyon, 1846; Garcin, 1835).