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1970/71 tumulus Lèque 1 - photo G. Sauzade
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C'est Casimir BOTTIN qui découvrit le dolmen le 24 Septembre 1880 ; il le nomma alors "Tumulus du quartier des Mauvans". Les indications qu'il nous a données sont d'autant plus précieuses qu'elles nous permettent de reconnaître les différents éléments composant la structure du tombeau qui s'est considérablement dégradé en un siècle.
Description du mégalithe
Bottin précisa que le tumulus occupait une superficie de 25 mètres carrés. Le dolmen était formé de 5 dalles en pierres brutes délimitant la cella. A l'intérieur de la chambre gisait la dalle de couverture du monument (1,32 m sur 0,82 m) que Bottin fit briser : la notion de préservation du patrimoine n'était pas une des priorités de l'époque.
Mais l'inventeur de ce dolmen eut l'excellente idée de faire dresser un plan des lieux en 1880. Ce plan nous restitue assez fidèlement l'état du dolmen au siècle dernier.
- La dalle de chevet, à l'Est, est la plus imposante
(1,10 m par 1,70 m).
- Deux orthostates la jouxtent, au Sud et au Nord, complétés par des murets de pierres sèches.
- Deux dalles verticales délimitent à l'Ouest l'entrée du Couloir.
(Plan du dolmen du Dégoutay (tumulus des Mauvans) dressé par Casimir Bottin en 1880 - Notes sur quelques monuments préhistoriques des Alpes-Maritimes, Ann. Soc. lett., Sc., et Arts des A.M., 1882, document consultable en intégralité rubrique préhistoriens locaux)
Le matériel archéologique
Bottin constate que la sépulture a été bouleversée antérieurement "malgré toutes mes précautions pour ne rien déranger, j'ai rencontré un désordre absolu". "J'ai pu constater que tous les squelettes avaient été placés les pieds au couchant et la tête au levant et peut-être accroupis, les genoux repliés, car tous les maxiliaires ont été trouvés au milieu du tombeau". Bottin recueille 230 dents et pense que la sépulture à pu contenir 8 à 10 adultes et un enfant de 16 à 18 mois.
Bottin parle "d'un vase en poterie très grossière, trois pendeloques ou pendants de colliers dont 2 (A et B ci-contre) formés de défenses de sanglier, celui qui figure sous la lettre A n'est pas entier, il lui manque un fragment, mais il reste la partie la plus essetielle ; celui qui porte la lettre C est taillé dans une coquille marine, ces trois pendants me font supposer qu'il devait y avoir au moins trois colliers ornés de petites perles semblables à D, E et de petites coquilles terrestres genre Cyctostoma elegans et Helix obvoluta, plus un poiçon en bronze F (une alène losagique), trois petits os taillés, plusieurs petites coquilles fossiles appartenant à des étages géologiques qui ne se trouvent pas dans ses environs, et quelques fragments de cristal de roche. "Les pendeloques arciformes sur coquille ou défense de suidé sont des marqueurs rattachés en général à la période Campaniforme. Ils sont représentés essentiellement dans des monuments mégalithiques de divers types comme au dolmen de la Verdoline sur la même commune."Les restes de l'enfant se trouvaient au milieu du tombeau et l'endroit où étaient ces petits ossements était littéralement couvert de menues coquilles. " | ![]() |
G. Sauzade compléta la fouille dans les années 70. Il décrouvrit dans la chambre, une pendeloque en canine de canidé percée, deux perles discoïdes en stéatite verte, des fragments de poterie non décorée, et deux perles discoïdes blanches en test de mollusque dans le tumulus.Ce dolmen a servi de sépulture au Chalcolithique avec une réutilisation à l'age du Bronze ancien. Les pendeloques arciformes peuvent dater du campaniforme et du bronze ancien (B. Gassin)
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1970 : fouilles G. Sauzade
Au mois de mars 1997, le Département des Alpes-Maritimes a chargé l'Institut d'Etudes Niçoises de mettre en valeur plusieurs mégalithes situés sur les communes de Saint-Cézaire-sur-Siagne et Saint-Vallier-de-Thiey. Le dolmen du Dégoutay faisait partie de cette liste.
Mars 1997, le mégalithe est dans un état de dégradation avancé
Après intervention, débarrasé de sa végétation on distingue nettement son architecture.
dolmen du d...
(Le dolmen du Degoutay en 2003, photo M. Royon)
Bibliographie
BOTTIN Casimir, Le préhistoriques des Alpes-Maritimes, Matériaux pour l'histoire primitive et naturelle de l'homme, 1885
GUEBHARD Adrien & GOBY Paul, Sur les enceintes préhistoriques des Préalpes maritimes, Congrès AFAS, 1904
CASTANIER Paul, La Provence préhistorique et protohistorique, Marseille-Paris, 1893
GOBY Paul, Les dolmens de Provence, XI eme congrès Rhodania, Cannes-Grasse, 1929
GOBY Paul, Coup d'oeil d'ensemble sur le préhistorique de l'arrondissement de Grasse, 2ème CPF Vannes, 1906
COTTE, Documents sur la Préhistoire de la Provence, 1924
GOBY Paul, Les dolmens de Provence, XI congrès Rhodania Cannes Grasse, 1929
ARNAL, Types de parures du Chalcolithique, Etudes Préhistoriques, 1964
CHENEVEAU René, Liste des mégalithes, pseudo-mégalithes et tumulus des Alpes-Maritimes, Mém. IPAAM, t. XI, 1967-1968 & 1969-1979
GOURDON Michel, Le néolithique et l'Age du Bronze dans les A.-M., mém. de maîtrise d'histoire, Université de Nice, 1976.
TABORIN, La parure en coquillage de l'Epipaléolithique au Bronze ancien en France, Gallia t. XVIII, 1975
COURTIN Jean, Les civilisations de l'Age du bronze en Provence, Le Bronze ancien et le Bronze moyen, La préhistoire française t. II, 1976
COURTIN Jean, Les dolmens de Provence, Livret guide B2, Congrès UISPP NICE, 1976
GASSIN Bernard, Atlas Préhistorique du Midi Méditerranéen, feuille de Cannes, 1986
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(La tombe en blocs N°1 en 1974, photo et relevé ci-dessous M. Gourdon)
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Fouillée par Bottin an 1885 et revue par Sauzade en 1970. Tumulus de 8 mètres de diamètre Chambre circulaire complètement fermée, de 1,65 de diamètre, formée de 8 blocs. Restes d’un squelette, tête à l’EstMobilier : perle olivaire en roche vert sombre, quelques silex et tessons, des os brûlés. (mobilier collection Bottin à Grasse) Datation : Chalcolithique (ou Age du cuivre). |
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Photos de la fouille Sauzade en 1970
Tombe en blocs de Sainte-Anne N°2
Elle est située 500 mètres à l’Ouest selon Gassin, au N.O selon Riba. |
(La tombe en blocs N°2 en 1994, L. Del Fabbro) |
Le quartier de Saint-Anne à Saint Vallier est aujourd'hui recouvert d'une forêt clairsemée. Des dépôts d'humus au sein même des structures sont propices à l'installation de végétaux qui entrainent peu à peu des détériorations sur les éléments constituants ces tombes en blocs. Sur le site de Saint-Anne II, nous avons noté que l'appareillage des blocs du couloir est dégradé, le seuil est éboulé et le tumulus est peu discernable sous le couvert végétal. |
(La tombe en blocs N°2 en 1974, M. Gourdon)
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La tombe N°2 en cours de Fouille. Gérard Sauzade 1969
Casimir Bottin découvrit et fouilla cette tombe en 1882, il dressa un plan sommaire mentionnant l'emplacement des vases et sur lequel on distingue également 3 lettres (b, c et d), dont j'ignore la signification (ci-dessous). Les gobelets campaniformes ont été photographiés par G. Sauzade
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Chambre rectangulaire (1,70 sur 1,50), faite de gros blocs. Ouverture délimitée par 2 piliers, donnant sur un couloir, large de 0,70 et long de 1,80. L’ensemble rappelle les dolmens, mais la petitesse des blocs et la profondeur de la chambre (0,90) font classer cette tombe parmi les Tombes en blocs. Deux squelettes, tête à l’Est. Mobilier : dans l’angle N. de la chambre, 2 vases ou gobelets campaniformes (forme de cloche renversée) "l'un dans l'autre" décorés au peigne. (cf un article sur le site consacré à ces deux vases campaniformes) Datation : Chalcolithique récent (civilisation du vase campaniforme). |
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Vase campaniforme - Chalcolithique récent - H. 17,1 cm - D. 18,5 cm |
Vase campaniforme - Chalcolithique récent - H. 13,8 cm - D. 13,9 cm |
Tombe en blocs de Sainte-Anne N°3
A 50 m. à l’Ouest de la n° 2. |
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(La tombe en blocs N°3 en 1994, L. Del Fabbro) |
La tombe en blocs N°3 en 1974, M. Gourdon
La tombre en 1970 avant la fouille Sauzade
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La fouillé G. Sauzade en 1970
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Petit tumulus. Fouillé par Bottin vers 1885 et par Goby vers 1900. Fouillé par Sauzade en 1970 Chambre rectangulaire (1,60 sur 1,20), formée de plusieurs blocs avec une entrée de 0,45 de large donnant sur un petit couloir. Profondeur de la chambre : 0,70. Squelettes de 12 à 15 personnes. Mobilier : 2 grosses perles annulaires en pierre verte et 39 perles en roche verdâtre ou blanche, 2 haches polies, 1 anneau en bronze. Goby y recueuillit quelques dents, des os et une perle en calcite. Datation : chalcolithique et peut-être Age du Bronze. |
Tombe en blocs de Sainte-Anne N°4
A 20 mètres à l’Ouest de la n° 3. |
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(La tombe en blocs N°4 en 1994, L. Del Fabbro) |
(La tombe en blocs N°4 en 1974, M. Gourdon)
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Petit tumulus. Fouillé par Bottin en 1885 et revue par Sauzade en 1970. Chambre partiellement détruite lors de la découverte par Bottin. Ne subsistaient que les murs Est et Nord. Squelettes de 2 adultes et de 2 enfants de 15 mois à 2 ans. Mobilier : 2 perles olivaires en roche verte, 2 perles discoïdales en calcaire, des fragments de poteries, des os brûlés et 2 dents de carnassiers. Datation : Chalcolithique. |
La tombe N°4 pendant les fouilles Sauzade en 1970
Tombe en blocs de Sainte-Anne N°5
A 50 mètres à l’Ouest de la tombe n° 4. Fouillée par Bottin en 1885, revue par Sauzade en 1970. |
(La tombe en blocs N°5 en 1974, M. Gourdon)
(La tombe en blocs N°5 en 1970, G. Sauzade)
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Chambre de forme allongée, avec une grande dalle de chevet à l’Est et 7 pierres au Nord et 6 à l’Ouest. Profondeur de la tombe : entre 0,40 et 0,85. Un seul squelette, tête à l’Ouest. Mobilier : perles discoïdales en calcaire et des éclats de silex avec des os brûlés. |
BIBLIOGRAPHIE
GASSIN Bernard
Atlas préhistorique du midi méditerranéen, feuille de Cannes, CNRS, Paris, 1986. N° 35 à 39, p. 45 à 51.
BOTTIN Casimir
Mémoire sur neuf tumuli de la période néolithique, in Ann. Soc. Lett., Sc. et Arts des A.M., T. X, p. 426-445.
COURTIN Jean
Le Néolithique de la Provence. Mém. de la S.P.F., T. XI, p. 177, 226, 227, 268, 298.
GOURDON Michel
Le néolithique et l'Age du Bronze dans les A.-M., mém. de maîtrise d'histoire, Université de NIce, 1956.
GOBY Paul
Coup d'oeil d'ensemble sur le préhistorique de l'arrondissement de Grasse, 2ème CPF, Vannes, 1906
CHENEVEAU René
Liste des mégalithes, pseudo-mégalithes et tumulus des Alpes-Maritimes, Mém IPAAM, t. XI, p. 99
CASTANIER Paul
Histoire de la Provence dans l'antiquité, t. I, La Provence Préhistorique et protohistorique, Paris-Marseille, 1893
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La tombe en blocs de la Colle appelée tholos de la Colle 6 par G. Sauzade.
Découverte et fouillée par Casimir Bottin vers 1885, elle a été revue par Gérard Sauzade en 1970. La chambre, carrée et construite en utilisant un creux naturel du rocher, se trouvait au centre d'un petit tumulus ; elle a livré quatre squelettes et quelques silex. Elle est attribuée au Néolithique final Chalcolithique.
1970 : Photo Gérard Sauzade
1997 Photo L Del Fabbro
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Cette sépulture se situe à 2,5 km à l'ouest de Saint-Vallier, sur le chemin de Saint-Jean, 250 m au sud est de la croix métallique où la route plonge vers les gorges de la Siagne et où l'on emprunte le chemin pour se rendre au lieu-dit "Ponnadieu".
tombe en bl... |
Tholos ou tombe en blocs de Mala Graou en 1974 (M. Gourdon) |
Historique
Fouillée vers 1880 par Bottin et revue par Sauzade en 1970, la sépulture est formée d'une dalle au nord, et de blocs pour les autres côtés, délimitant une chambre carré de 1,30 m de côté, avec un ouverture à l'ouest. C'est Gérard Sauzade qui utilise en 1979 le terme de "tombe en blocs" (par opposition aux dalles plates utilisées pour la construction des dolmens), généralement de forme circulaire, parfois polygonales et de formes réduites.
Le matériel archéologique
La tombe en bloc renfermait selon Bottin, un seul squelette, la tête à l'ouest, avec quelques tessons, deux silex, quatre incisives de boeuf, des charbons et des os brûlés.Courtin date le site du Chalcolithique
Bibliographie
BOTTIN Casimir, Mémoire sur neuf tumuli de la période néolithique, Ann. Soc. Lett. Sc. et Arts des A.-M., 1885
CASTANIER Paul, Histoire de la Provence dans l'antiquité, t. 1, La Provence préhistorique et protohistorique, Marseille-Paris, 1893
GOBY Paul, Coup d'oeil d'ensemble sur le préhistorique de l'arrondissement de Grasse, 2ème CPF Vannes, 1906
COTTE, Documents sur la Préhistoire de la Provence, 1924
CHENEVEAU René, Liste des mégalithes, pseudo-mégalithes et tumulus des Alpes-Maritimes, Mém. IPAAM, t. XI, 1968
COURTIN Jean, Le néolithique de la Provence, Mém. SPF, t. 11
GOURDON Michel, Le néolithique et l'Age du Bronze dans les A.-M., mém. de maîtrise d'histoire, Université de NIce, 1956.
SAUZADE Gérard, Les deux tombes du Prignon et les dolmens de Saint Cézaire (Alpes-Maritimes), BAP, N°4, 1979
GASSIN Bernard, Atlas préhistorique du Midi Méditerranéen, feuille de Cannes, CNRS, 1986
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Le tumulus ou tholos de la Colette à Escragnolles, se trouve près du hameau de la Colette à une altitude de 1000 m.
Localisation : carte de l'inventaire des sites
Description
Cette structure funéraire se présentait sous la forme d'un tumulus de pierre (plates) de 10 m de diamètre et 1,5 m de hauteur. Selon Marcellin Chiris, qui fouilla la tombe en 1880, le sommet présentait un cercle de pierres régulier de 5 m de diamètre dont il est délicat de préciser la datation. La place de la « couche à ossements » de 3,5 m de diamètre et 25-30 cm d’épaisseur par rapport à la chambre évoquée n’est pas précisée.
J. Courtin évoque la possibilité d’une tholos pour ce monument bien que les descritpion de Chiris sur lesquelles il se fonde soient relativement imprécises. Il s'agirait alors d'une tombe à chambre ronde, pourvue d'une voute en encorbellement, dont la structure se serait effondrée.
Le mobilier archéologique
Il comprend 3 tessons correspondant à 3 vases distincts. Un tesson est décoré de lignes incisées horizontales et d’une bande en fermeture éclair incisée (phase 3 / Lemercier 2002). Un tesson présente 3 lignes horizontales réalisées au peigne et le troisième présente une bande croisillonnée au peigne encadrée de deux bandes réservées.
Ces éléments sont rattachable à la période Campaniforme.
De nombreux tessons non décorés ont été mis également au jour. La sépulture contenait les restes d'une trentaine de squelettes adultes et enfants selopn Chiris. Parmi ceux-ci ont été découvertes des rondelles osseuses découpées dans des os crâniens. Leur interprétation reste problématique
Fouille Chiris 1885 - restes humains (D.R. Barbiero - Musée d'Histoire de Provence - Grasse)
L’industrie lithique taillée comprend quatre lames en silex dont une de 10 cm à section trapézoïdale, une armature biface foliacée allongée et épaisse et un fragment de poignard à retouches « en pelures » et face inférieure plane polie.La parure comprend des fragments d’un brassard d’archer en grès fin probablement à quatre trous. Et des petites perles irrégulières en « callais » (variscite ?), minéral voisin de la turquoise de provenance lointaine.
Fouille Chiris 1885 - (D.R. Barbiero - Musée d'Histoire de Provence - Grasse)
Les objets métalliques : une alêne bipointe à section carrée en cuivre de 115 mm dont l'analyse a donné : arsenic 0,61, argent 0,03, nickel 0,03, bismuth 0,022, traces d’antimoine et de fer. (Dr Schröder Landesmuseum de Stuttgart).
Le matériel archéologique d'après Jean Courtin
Bibliographie
CHIRIS M. – Mémoire sur un tumulus de l’époque néolithique situé à la Collette, Escragnoles (Alpes-
Maritimes), Draguignan, 1889.
COTTE V. – Documents sur la préhistoire de Provence, Aix-en-Provence : Editions A. Dragon, 4
volumes, 1924.
COURTIN J. – Les dolmens à couloir de Provence orientale, L’Anthropologie, LXVI, 3-4, 1962, p. 269-
278. 1962.
COURTIN J. – Le Néolithique de la Provence, Paris : Klincksieck, 1974, 355 p. (Mémoire de la Société
Préhistorique Française, 11). 1974
GASSIN B. – Atlas préhistorique du Midi méditerranéen, feuille de Cannes, Paris : CNRS, 1986.
GOBY P. – Coup d’oeil d’ensemble sur le préhistorique de l’arrondissement de Grasse, et notamment
sur ses dolmens, tumulus et sépultures, Congrès Préhistorique de France, Vannes, 1906, p. 382-410.
TREINEN F. – Les poteries campaniformes en France, Gallia Préhistoire, Tome XIII, 1970, 1 p. 53-107,
2 p. 263-332. 1970
LEMERCIER O. - Le Campaniforme dans le sud-est de la France. De l’Archéologie à l’Histoire du troisième millénaire avant notre ère. Thèse de doctorat. Aix, 2002.