Tumulus de la Croix de Cabris N° 1
Ce tumulus est situé sur l'ancien chemin de Saint-Vallier à Cabris, au lieu dit Croix de Cabris, au croisement de plusieurs chemins
![]() |
![]() |
1974 : Le tumulus 1, photo M. Gourdon
ARCHEOPROVENCE
Description
La chambre, ronde, d'un diamètre de 1,80m, est formée de 7 gros blocs d'environ cinquante centimètres de côté complétés par un muret de petites dalles plates sur le côté nord ; il n'y a ni entrée ni couloir visible. Le tumulus, circulaire, mesure 10 mètres de diamètre et encercle le tout.
Topographie du mégalithe
![]() |
![]() |
1970 : les fouilles de G. Sauzade, avant et pendant le dégagement (photos G. Sauzade)
Le matériel des fouilles
Cette tombe a été fouillée par A.GUEBHARD en 1892, par P. GOBY vers 1905 et par J. COURTIN en 1960. Guébhard a recueilli environ 300 dents, Goby une trentaine de dents et quelques fragments de silex. Courtin n'a découvert qu'une perle olivaire en calcaire.
L'opération de mise en valeur du site en 1997 par L'institut d'Etudes Niçoises
En 1997, le Département des Alpes-Maritimes a chargé l'Institut d'Etudes Niçoises de procéder à un entretien superficiel de plusieurs mégalithes situés sur les communes de Saint-Cézaire-sur-Siagne et Saint-Vallier-de-Thiey. Le dolmen et la tombe en blocs de Mauvans sud ainsi que 4 autres mégalithes ont été retenus pour cette opération.
1997 : Le tumulus débarassé de la végétation superficiele
2023 - Etat général
Pas d'information
1971 : fouilles G. Sauzade (photo G. Sauzade)
1974 : Photo M. Gourdon
Cette structure est située à 100 m au sud du dolmen des Puades sous le chemin longeant le canal Belletrud.
Elle a été fouillée par Casimir Bottin vers 1880 et par Gérard Sauzade en 1971.
ciste des p... |
ciste des p... |
Ciste des puades en 1978 (M. Gourdon) | Ciste des puades en 2005 (J.J. de la Napoule) |
Il s'agit d'un petit caisson carré, à fleur de terre, en blocs ou petites dalles de champs.Le mobilier archéologique Sauzade a recueilli une alène losangique en bronze, une perle en Collumbella rustica, 24 perles en stéatite, deux cent perles discoïdes en test de coquille, 3 pendeloques en cristal de roche, un fragment de cristal de roche retouché, 3 canines de canidés non percées, de nombreux fragments de poteries dont un décoré, peut-être campaniforme, des éléments de collier tubulaire et spiralé.
ciste des p... |
ciste des p... |
ciste des p... |
ciste des p... |
ciste des p... |
Ciste des puades en 1971 (G. Sauzade) | Mobilier du ciste des puades de la fouille Sauzade en 1971, Chalcolithique et Bronze ancien (G. Sauzade) |
Datation proposée : Chalcolithique puis Bronze ancien.
Selon Guébhard et Goby, Bottin aurait fouillé une deuxième ciste non loin de la première : la ciste des Puades 2 dans l'Atlas Préhistorique de Bernard Gassin.
Bibliographie
GUEBHARD Adrien, Ponnadieu et les environs de Saint-Vallier-de-Thiey, Bulletin du CAF, section des Alpes-Maritimes, t. XVI, 1895
GOBY Paul et GUEBHARD Adrien, Sur les enceintes préhistoriques des Alpes-Maritimes, Congrés AFAS Grenoble, 1904
GOBY Paul, Coup d'oeil d'ensemble sur le préhistorique de l'arrondissement de Grasse, 2ème CPF Vannes, 1906
CHENEVEAU René, Liste des mégalithes, pseudo-mégalithes et tumulus des Alpes-Maritimes, Mém IPAAM, mise à jour N°2, t. XIV, 1971
GAGNIERES Sylvain, Informations archéologiques, Gallia Préhistoire, XV, 2, p. 555, 1972
GASSIN Bernard, Atlas préhistorique du midi méditerranéen, feuille de Cannes, p. 83, CNRS, Paris, 1986.
Tumulus de la Croix de Cabris N° 1
Ce tumulus est situé sur l'ancien chemin de Saint-Vallier à Cabris, au lieu dit Croix de Cabris, au croisement de plusieurs chemins
![]() |
![]() |
1974 : Le tumulus 1, photo M. Gourdon
Fouillé par Bottin avant 1899 (N°3 de sa liste), revu par Gérard Sauzade en 1970
Bottin récolta des ossements fragmentés, un squelette qui semblait en partie en place, à l'ouest de la tombe, avec "de légères traces de crémations" et des charbons.Le mobilier archéologique se composait d'une épingle en bronze, à tête subconique, "ornée tout autour de la tête d'une petite dentelure et de six lignes transversales" de 170 mm de long, d'une rondelle d'étain percée au centre, de tessons divers, d'une pointe en silex.
Bernard Gassin signale des éléments provenant de ce tumulus dans la collection Bottin au musée d'Histoire de Provence à Grasse. Il s'agit de trois coquillages (deux Mesodesma Cornea poli, une valve de cardium), un tesson décoré d'incisions profondes, des tessons divers.La dation proposée est le Bronze final III (épingle)
Tumulus de la Croix de Cabris N° 2
A cinquante mètres au sud du précédent, entre les collines du Lautéron et des Audides
![]() |
Fouillé par Bottin avant 1899 (N°4 de sa liste)
Selon Bottin, il se présentait sous la forme d'un cône de 50 m de diamètre et de 2 m de haut. Selon Cheneveau, il n'aurait que 12 m de diamètre.
Bottin mis au jour, "à cinquante centimètres du sommet", quelques os longs et quelques dents, deux boutons à rivet, une pointe en silex, plusieurs tessons "ornés de lignes creuses".
Bernard Gassin a vu dans la collection Bottin à Grasse, 2 tessons d'un vase ovoïde, portant un mamelon au contact du bord, à pâte brune, à surface raclée, de 19 cm de diamètre à l'ouverture.La datation proposée est Bronze-Bronze final.
Tumulus de la Croix de Cabris N° 3
![]() |
![]() |
Bibliographie
GASSIN Bernard, Atlas Préhistorique du Midi Méditerranéen, feuille de Cannes, 1986
COTTE V. , Documents sur la préhistoire de la Provence, Aix, t. IV, 1924, p. 145
VINDRY Georges, Un siècle de recherches préhistoriques et protohistoriques en Provence orientale, Doc. D'archéologie Méridionale, t. 1, 1978
CHENEVEAU René, Liste des mégalithes, pseudo-mégalithes et tumulus des Alpes-Maritimes, Mém IPAAM, t. XI, p. 81
Découvert en 1872 par Casimir Bottin, le dolmen a été également fouillé par Sénéquier, Olivier et Rivière et fu détruit au début du XX ème siècle. Selon Cotte, citant une note manuscrite de Bottin, il avait "la forme de celui de Draguignan" et servait de cave à la maison du Clos de Ricard, ce qui le situe grosso modo à 1,5 km au sud sud-est de Saint-Vallier près de la route de Grasse.
Description
Il s'agissait d'un dolmen sous tumulus, dont la chambre rectangulaires était délimitée par une dalle de chevet de 1,90 m de hauteur à l'est, des murets en pierre sèches au nord et au sud, de dux piliers à l'ouest délimitant une entrée, barée par un seuil, donnant sur un couloir formé par deux orthostates parallèles (1,80 m et 1,95 m de hauteur), reliées à l'entrée par 2 "doubles murs" de pierres sèches. Il était couvert de larges dalles (Senequier, 1875).
Le mobilier archéologique
Il comprenait des ossements humains, "un grand nombre d'éclats de silex, des pointes de flèches (cf fig. 2), une hache polie, des perles olivaires en "pierre tendre noire" et une, plus grosse en cristal (11 à 13, fig. 1), des perles discoïdes. La céramique comprenait deux tessons de couleur rouge jaunâtre à décor incisé - estampé de style Campaniforme provençal : un tesson orné de neuf lignes parallèles incisées, et d'échelles couchées encadrant deux rangées d'impressions losangiques, le second décoré de dix lignes incisées et d'échelles couchées. (15 et 17, fig. 2)
(figure 1 : le mobilier archéologique)
Le mobilier métallique comprenait un anneau (16, fig. 1), une perle en bronze (Cotte), un "rognon composé de cuivre et de fer natif, aplati par l'usage à une extrémité" (cf fig. 2) ainsi qu'un poignard (18, fig. 1) et le bout d'un autre (Goby, 1906)(Grand poignard en bronze du dolmen d'Arboins, Bottin 1899). Le poignard, long de 18 cm, à longue lame et large soie trapézoïdale à sommet arrondi, sans trou de rivet, s'apparente aux poignards du Languedoc, groupe de Fontbouïsse (Courtin, Sauzade 1975) et pourrait dater d'une phase du Chalcolithique antérieure au campanifome. Pour Georges Vindry (1978), il d'agit d'un poignard en bronze, semblable aux modèles signalés dans différentes stations des alpes et datable du Bronze final III.
En mars 1880, une sortie du Club Alpin Français, section Alpes-Maritimes, à destination de Gréolières emmène les participants au village de Saint-Vallier, étape du parcours. C'est Casimir Bottin qui reçoit le petit groupe et en profite pour leur faire découvrir un site mégalithique fouillé par lui-même en 1872, "le tumulus d'Arboins" (dolmen d'Arboins), situé sur la route de Saint Vallier à Grasse, à la hauteur de la Bastide Olivier, sur un coteau à droite de la route."Nous en rapportons une phalangine, une molaire, une incisive, et un morceau de côte très bien conservé et trouvés par nous."
La figure 2, ci-dessous, est un dessin d'Alexis Mossa, peintre niçois, qui présente une partie des objets découverts par Bottin dans la sépulture.
(figure 2, Relevé topographique et matériel archéologique du dolmen des Arboins fouillé par Bottin, dessin Alexis Mossa)
Bibliographie
GASSIN Bernard, Atlas préhistorique du midi méditerranéen, feuille de Cannes, CNRS, Paris, 1986.
GOBY Paul, Coup d'oeil d'ensemble sur le préhistorique de l'arrondissement de Grasse, 2ème CPF, Vannes, 1906
CHENEVEAU René, Liste des mégalithes, pseudo-mégalithes et tumulus des Alpes-Maritimes, Mém IPAAM, t. XI, p. 93
CASTANIER Paul, Histoire de la Provence dans l'antiquité, t. I, La Provence Préhistorique et protohistorique, Paris-Marseille, 1893
OLIVIER D., Sépultures et dolmens de Saint-Vallier, Matériaux, t. VI, 1875
RIVIERE Emile, Nouvelles recherches dans les Alpes Maritimes en 1879, Congrés AFAS, 1880
FEVRIER, Quatre jours dans l'arrondissement de Grasse, CAF, section des Alpes-Maritimes, 1880
SENEQUIER Paul, Anciens camps retranchés de la région de Grasse, Ann. Soc. Lettres Sciences et Arts des A.-M., t. VII, 1879
BOTTIN Casimir, mémoire sur dix tombes de l'époque préhistorique à Saint-Vallier, Ann. Soc. Lettres Sciences et Arts des A.-M., t. X, 1885
RIVIERE Emile, De l'antiquité de l'homme dans les Alpes-Maritimes, 1887
GUEBHARD Adrien, Ponnadieu et les environs de Saint-Vallier de Thiey, Bull section des A.M. du CAF, t. XVI, 1896
BOTTIN Casimir, Découverte et fouille de neuf tombes aux environs de Saint-Vallier A.-M., Ann. Soc. Lettres Sciences et Arts des A.-M., t. XVI, 1899
GOBY Paul, Sur les poteries dolméniques de la région de Grasse, 2èm eCPF, Vannes, 1906
COTTE V. , Documents sur la préhistoire de la Provence, Aix, t. IV, 1924
DANIEL G., The prehistoric chamber tombs in France, 1960
RIQUET R., GUILAINE J., COFFYN A, Les campaniformes français, Gallia Préhistoire, T. VI, 1963
TREINEN F., Les poteries campaniformes en France, Gallia Préhistoire, T. XIII, 1970
COURTIN Jean, Le néolithique de la Provence, Mém SPF, t. 11, 1974
ARNAL G.B., Types de parures du Chalcolithique, Et. Préh., 1974
COURTIN Jean, SAUZADE Gérard, Un poignard de type Remedello en Provence, BSPF, t. 72, 1975
VINDRY Georges, Un siècle de recherches préhistoriques et protohistoriques en Provence orientale, Doc. D'archéologie Méridionale, t. 1, 1978
Localisation et description
Ce dolmen se trouvait à l'origine au quartier de l'Apparat, 500 m au sud de l'église de Saint-Vallier et à 150 m à l'est de la chapelle Saint-Pons. Il fut fouillé par Casimir Bottin dans les années 1880. Le monument a été détruit par des travaux en 1970.
dolmen de l...
Selon Bottin, La sépulture se trouvait "au centre d'un grand amas de pierrailles de 15 mètres de long sur 10 de large environ, formant tumulus. De cette sépulture il ne reste sur place qu'une grande dalle de 2,12 m de long sur 0,70 m de haut, occupant presque toute la longueur du tombeau, et une deuxième moins importante, placée du côté de l'ouest et qui devait occuper le sud de l'entrée. Celle qui devait occuper le côté du couchant avait disparu. Les parties sud et couchant de la sépulture étaient complétés par de petites pierres disposées en muraille." Le sol de la chambre était complété par de petites dalles "variant de 20 cm à 30 cm envron". Bottin n'avait pas découvert le couloir.Le matériel archéologiqueLes restes humains
Le préhistorien se rend compte que la sépulture est d'un intérêt considérable. Il y recueille plus de mille dents. Les ossements en nombre considérable correspondent à 40 ou 45 individus d'après ses estimations. La plupart des restes crâniens et des mandibules étaient enterrés près de la dalle de chevet, avec de nombreuses petites perles et des flèches. Pour Bottin : " la quantité d'ossements que contenait cette sépulture me porterait à croire que nous nous trouvons en présence d'une tombe destinée à recevoir les morts de toute une tribu ou appartenant à une même famille."
Les industries lithiques
Une grande lame appointie de 22cm de long, un fragment de poignard à retouches bifaciales, onze armatures de flèches : trois foliacées à retouche bifaciales couvrantes, deux à retouches couvrantes sur la face supérieure, envahissante sur la face inférieure, une pointe foliacée lancéolée à retouche marginale sur les deux faces, une pointe sublosangique allongée portant des retouches plates à l'extrémité distale, et des encoches à retouche abrupte formant un pédoncule épais, à l'extrémité proximale, une pointe foliacée à amorce de pédoncule, trois pointes pistilliformes à retouches bifaciales couvrantes ; quelques lames et lamelles ; des éclats.
La céramique
Représentée par "quelques tessons correspondant à plusieurs vases", dont un tesson décoré, probablement campaniforme.
La parure
Particulièrement abondante, elle comprend :
- 3035 perles discoïdes minuscules, en roche verte, le plus souvent minces, quelquefois épaisses
- 8 perles discoïdes calcaires
- une perle cylindrique épaisse en test de mollusque
- 9 perles en tonnelet (5 en calcaire, 4 en roche verte)
- une perle à renflement médian en roche verte (doc. 2, n°1)
- une perle en tonnelet à gorges, en os (doc. 2, n°6)
- 7 tubes en os subsegmentés (ils devaient être plus nombreux à l'origine)
- 2 pendeloques à ailettes en calcaire (doc. 2, n°2)
- 2 pendeloques allongées en test
- une pendeloque courbe très étroite (en canine de suidés ?)
- 7 pendeloques à pointe, dont 6 en os (doc. 2, n°5), très petite, une gorge sépare la partie perforée de la parti inférieure, arrondie, la septième est en roche verte, sa partie inférieure est pointue (doc. 2, n°4)
- la partie inférieure d'une pendeloque à pointe en os à fines stries circulaires (doc. 2, n°10)
- 3 craches de cerf perforées (doc. 2, n°3)
- 30 canines de carnassier percées à la racine, la base de la racine a été parfois amincie, une d'entre elles est brûlée
- 2 incisives de carnassier perforées
- 3 fragments de défense de sanglier
Ce mobilier est complété par des objets en bronze ou cuivre :
- une alène "ronde-carrée" (doc. 2, n°7)
- une alène bipointe de section carrée
- 2 petits anneaux circulaires, de section plan, convexe
- un fragment de feuille en métal enroulée sur elle-même (doc. 2, n°9)
- un anneau de section ovalaire
- 8 clous ou boutons d'applique, à tête hémisphérique, portant une petite tige (doc. 2, n°8), des pièces semblables sont connues en Alsace, au bronze moyen II-III, comme éléments de ceinture, et datés dans d'autres sites du bronze final (Gassin 1986)
(doc 2 : le matériel archéologique)
Évoquant le dolmen de l'Apparat, Bottin dit que "cette sépulture peut-être classée au nombre des plus importantes de mes découvertes préhistoriques". Parlant de la parure il précise : "la moitié environ de ces perles sont généralement très petites et je dirai même microscopiques, et ce n'est par le lavage de tous les terreaux que j'ai pu les découvrir". Bottin ayant procédé à une "reconstitution" des colliers pour présenter à ses confrères de l'époque nous dit : "je me dispense de faire ici le tableau ou la description du travail de patience qu'elles ont demandé pour en arriver à un si bon résultat". Et de conclure :"contrairement à ce qui se passe généralement de nos jours, ce peuple avait un culte profond pour ses morts et tout devait s'éterniser avec eux".
Rendons ici hommage à ces pionners de la préhistoire locale que sont notamment Adrien Guébhard, Casimir Bottin et ceux qui leur ont emboîté le pas. L'archéologie préhistorique, à la fin du XIX ème siecle, est à l'état embryonnaire. L'oeuvre de Darwin "L'origine des espèces" est toute récente ainsi que l'acceptation d'une idée de la terre très ancienne par la communauté scientifique. Les observations de ces préhistoriens précurseurs sont souvent pertinentes alors qu'ils ne disposent d'aucun appareil technologique permettant une analyse des vestiges. Ce sont les premiers à esquisser une méthodologie de fouille en mettant en évidence une stratigraphie sur certains mégalithes (dolmen des Puades, Bourguignat).
Bibliographie
BOTTIN Casimir, tombe mégalithique N°4, Ann. Société des Lettres, Sciences et Arts des Alpes-Maritimes, T.X, 1885
BOTTIN Casimir, Notes manuscrites, registre 21, p. 5, Bibliorhèque du Musée de Grasse
CASTANIER Paul, Histoire de la Provence dans l'antiquité, t. I, La Provence Préhistorique et protohistorique, Paris-Marseille, 1893
GOBY Paul, Coup d'oeil d'ensemble sur le préhistorique de l'arrondissement de Grasse, 2ème CPF, Vannes, 1906
COTTE V. , Documents sur la préhistoire de la Provence, Aix, t. IV, 1924
GOBY Paul, Les dolmens de Provence, XI congrès Rhodania Cannes Grasse, 1929
CHENEVEAU René, Liste des mégalithes, pseudo-mégalithes et tumulus des Alpes-Maritimes, Mém IPAAM, t. XI, p. 93, 1968
GAGNIERES Sylvain, Informations archéologiques, Gallia Préhist., t. XV, 1972
Sauzade Gérard, Le dolmen de Peicervier à Lorgues (Var) et les poignards à soie courte en silex poli du Midi de la France, Bull. du Museum d'Histoire Naturelle de Marseille, T. XXXXV, p. 248, 1975
COURTIN Jean, Le Néolithique de la Provence, Mém. SPF, T. XI, 1974
GASSIN Bernard, Atlas Préhistorique du Midi Méditerranéen, feuille de Cannes, 1986
Itinéraire roman dans les Préalpes d'Azur
Quelques prises de vue réalisées en drone qui ont été utilisées dans le cadre d'une présentation pour un projet d'itinéraire roman dans les Alpes-Maritimes. L'occasion de voir sous un autre angle ces vestiges dans leur écrin naturel.
Le Castellaras de la Malle vu du ciel (Saint-Vallier-de-Thiey)
Je vous propose une visite du Castellaras de la Malle avec cette vidéo réalisée en 2020. Cet ouvrage pré-romain se situe sur les hauteurs de Saint-Vallier-de-Thiey dans le Parc naturel régional des Préalpes d'Azur.